Je crains que l'on ne soit nombreuses à avoir connu au moins une fois une scène similaire.

Pour une fois, c'est filmé.


https://www.midilibre.fr/2019/10/07/agde-la-video-de-lenseignante-viol emment-agressee-par-deux-parents-deleves,8464431.php?fbclid=IwAR0ciaxQ tNULWvHrKDfaoNFwaeF297dyAtDcq_S8DkbGSmqHKVIFrkIRw7I

Je n'ai pas la force de cliquer. Je ne veux pas voir ça.

Je pense que c'est publié parce que ce sont deux "gitanes" (C'est la grand-mère qui le dit).

sarah a écrit le mar. 08 octobre 2019 19:30

Je pense que c'est publié parce que ce sont deux "gitanes" (C'est la grand-mère qui le dit).

Je le pense aussi.

Cela dit, quand je débutais, dans le médoc profond, une enseignante sortante, tout comme moi, a été agressée à son école un soir, vers 18h. C'est la femme de ménage de l'école qui l'a trouvée. Il n'y avait plus de collègues dans l'école.
Cette jeune instit avait juste puni un élève dans la journée et elle a informé la mère à 16h30. Et ça aurait pu, certainement du en rester là.

Elle est restée travailler à l'école et la mère et la grand mère sont revenues plus tard après la sortie, elles sont entrées dans la classe, Vigie Pirate n'existait pas franchement à l'époque si vous vous rappelez et l'ont tabassée. Vraiment tabassée. Elle a été hospitalisée suite à ça.

Et bien, quand il s'est agi de porter plainte, les gendarmes le lui ont déconseillé... Pas de vagues avec le camp gitan qui était installé dans la commune, c'était plus simple pour tout le monde.
Et moi, je me souviens très bien du silence total de mon IEN de l'époque.

ma 1ère année, j'ai porté plainte contre un papa (il m'a poussée, je me suis retrouvée par terre).
1) il avait déjà un casier, donc plainte qui a abouti. Il a eu u mois ferme (qu'il n'a jamais fait) et j'ai eu des dommages et intérêts (que je n'ai jamais touché car Mr n'était pas solvable ; si j'avais des ITT, l'état m'aurait versé les indemnités.) Donc, je n'espère pas avoir à refaire un dépôt de plainte, mais ARRETEZ VOUS en cas de souci, ça peut toujours servir...

Soutien de l'IEN à l'époque : quasi nul. Par contre, j'avais eu un courrier du rectorat et une très bonne écoute de l'autonome et de l"avocate de l'autonome.