L'enseignante en poste depuis septembre 2020 n'avait pas son CAPPEI (certificat d'aptitude professionnelle aux pratiques de l'éducation inclusive). Seule à candidater, elle a pu devenir enseignante de la classe sans certificat. Sauf que, pour la rentrée de septembre 2025 : elle est remplacée.

https://www.ouest-france.fr/education/a-brest-une-enseignante-aux-resu ltats-exceptionnels-perd-son-poste-f6507f7e-1937-11f0-8663-b0a0331793f 2
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L'enseignante en poste depuis septembre 2020 n'avait pas son CAPPEI (certificat d'aptitude professionnelle aux pratiques de l'éducation inclusive). Seule à candidater, elle a pu devenir enseignante de la classe sans certificat. Sauf que, pour la rentrée de septembre 2025 : elle est remplacée.

Emmanuel Macron va lancer une convention citoyenne sur le thème de l'éducation, notamment sur les vacances et les rythmes scolaires
Le président de la République veut que cette convention, dont il a dévoilé les contours vendredi dans "Le Parisien", se penche notamment sur la question des rythmes scolaires.

Pour Emmanuel Macron, « la France a des vacances plus longues » que beaucoup de pays. Vraiment ?

Convention citoyenne, grenelle, états généraux, j'en peux plus de ces trucs qui servent à rien.

https://www.ouest-france.fr/politique/emmanuel-macron/emmanuel-macron- va-lancer-une-convention-citoyenne-sur-les-temps-de-lenfant-8c32d296-2 773-11f0-b7b8-37276f4d776e

La convention citoyenne, un outil de consultation « plus adapté »

« La convention citoyenne m'a semblé être l'outil de consultation des Français le plus adapté, car c'est une question très complexe qui nécessitera de dégager de nombreux consensus entre tous ceux qui sont touchés par ce vaste sujet, comme les parents, la communauté éducative y compris périscolaire, les collectivités locales et même les professionnels du tourisme » a ajouté le chef de l'État dans les colonnes du Parisien vendredi.

Convention citoyenne, grenelle, états généraux, j'en peux plus de ces trucs qui servent à rien.

Budget

Un budget de 5 millions d'euros est attribué au CESE pour l'animation et l'organisation de la convention[21]. Ce budget inclut l'organisation logistique (transport, hébergement, restauration des 150 citoyens et citoyennes tirés au sort), l'indemnisation des participants (indemnisés sur la base des jurys d'assise, soit 86,04 € par jour (1 462 € pour la totalité du processus) ainsi qu'une indemnité de perte de revenu professionnel pour les personnes qui viendront sur leur temps de travail (10,03 € par heure), plus le coût éventuel de la garde d'enfants), le tirage au sort, l'animation des séances avec la venue de juristes et d'experts, etc.[26]

La semaine de 4 jours à l'école primaire, une exception française étrillée par la Cour des comptes
Le fonctionnement de l'enseignement primaire en France est « en décalage avec les besoins de l'élève », estime l'institution présidée par Pierre Moscovici.

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La semaine de 4 jours à l'école primaire, une exception française étrillée par la Cour des comptes
Le fonctionnement de l'enseignement primaire en France est « en décalage avec les besoins de l'élève », estime l'institution présidée par Pierre Moscovici.

https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/la-semaine-de-4-jours- a-l-ecole-primaire-une-exception-francaise-etrillee-par-la-cour-des-co mptes_250282.html

La Cour des comptes pointe, en outre, « une dépense mal évaluée qui ne cesse de croître » pour l'école primaire, et un « système éducatif trop centralisé qui n'intègre pas suffisamment tous les acteurs », dont les collectivités territoriales.

« Fatigué des politiques » contradictoires, le maire d'Arras Frédéric Leturque, en charge des questions éducatives à l'AMF, estime pour sa part que « les élèves, les enseignants et les parents ont besoin de stabilité ».

« Il faudra tenir compte des problématiques liées au changement climatique, prévient Dominique Bruneau, du Sgen-CFDT. Comment voulez-vous faire cours dans une classe sous 40 degrés ? »

Or, la Cour des comptes s'inquiète d'un système scolaire français inégalitaire, « en situation d'échec », et mal classé dans les classements internationaux évaluant la performance des écoliers.

« En dépit d'une augmentation constante ces dix dernières années de la dépense consacrée à l'école primaire, le niveau a suivi une tendance inverse », déplore-t-elle. Pour expliquer ce « déclin des performances scolaires », l'institution souligne que la France « dépense moins » que ses voisins européens dans l'enseignement élémentaire.

Ils notent aussi les inégalités territoriales persistantes, entre les territoires urbains et ruraux, entre les territoires qui pâtissent le plus de la crise de recrutement des enseignants et les autres, ou encore entre les communes, dont les moyens financiers consacrés aux écoles varient considérablement de 4 500 euros annuels par élève à 250 euros, selon la Cour.

Le rapport plaide ainsi pour « renforcer la formation initiale et continue des enseignants » et réviser leurs modalités d'affectation, des « conventions triennales entre les élus concernés et les services de l'éducation nationale », ou encore pour une « réforme du statut de directeur d'école en généralisant progressivement la fonction de directeur à temps complet (...) », dont les missions de pilotage seraient renforcées.

Les auteurs n'évoquent cependant pas les débats habituellement suscités par ce « tournant démographique », qui se structurent autour de l'utilisation possible des marges de manœuvre financières et humaines pour améliorer les taux d'encadrement ou renforcer les politiques de remplacement de professeurs ou d'inclusion des élèves en situation de handicap, par exemple.

Le rapport identifie plutôt trois « défis majeurs » à relever : « le bien-être des élèves », en articulant mieux les temps scolaire, périscolaire et extrascolaire ; l'usage du numérique, à « mettre au service des apprentissages » tout en « définissant des limites » ; et la « transition écologique », qui impose notamment des travaux d'ampleur dans la moitié des 47 000 écoles.