Re: Donner son avis : "l'intérêt du travail en équipe ??" [message n° 203481 est une réponse au message n° 203473] |
mer. 31 janvier 2007 10:17 |
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mamouth-resse | | | messages : 2409
Inscrit(e) : mars 2005 Métier : PS1-GS | |
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Je sais bien que ça ne fait pas très "professionnel" mais je suis persuadée que les écoles où le travail en équipe est réel, efficace et continu, sont les écoles où les enseignant(e)s s'entendent très bien.
C'est le cas depuis toujours dans mon école. On échange beaucoup beaucoup. Chacune sait tout de chaque élève, sans avoir à lire son livret d'évaluation. On se fabrique des outils communs, des livrets communs, on met les jeux en partage, on a le même seuil de tolérance (ou pas) sur le comportement des élèves. On a une certaine "unité" dans notre fonctionnement, ce qui fait que lorsque l'enfant passe d'une classe à l'autre, il n'a pas de bouleversement important. Il utilise en GS des outils qu'il connait depuis la TPS, il connait les règles de comportement, etc. Et puis, choses importante pour moi, on s'attache chacune d'entre nous, sans qu'on ait eu à se le dire en réunion, à nouer une mini-relation avec les élèves des autres classes, à leur parler individuellement lorsque l'occasion se présente, etc. Ce qui fait que chaque élève connait chaque maîtresse.
Je travaille aussi en liaison avec le maître de CP. On se voit tous les 15 jours. J'apprécie beaucoup parce que je sais où je vais, ce qui est attendu, etc, et lui il apprécie parce que ça lui facilite sa rentrée. Et si l'on continue, si on est toujours motivés pour se rencontrer, travailler, penser, élaborer ensemble, c'est parce que le résultat sur les élèves a été immédiat et positif. Mais cette liaison/collaboration GS/CP n'a pas toujours été possible, parce qu'il y avait 2 classes de CP et que l'autre collègue était hermétique à toute collaboration, et tellement condescendante à notre égard, qu'elle n'aurait pas été fructueuse, même si on nous l'avait imposée.
Voilà pourquoi je reste convaincue que ce n'est possible que s'il y a un profond respect et amitié des uns pour les autres.
Complétez les phrases suivantes avec un des homophones entre parenthèses.
1. Je vous (salut – salue) Marie pleine de grâces et je vous (signal – signale) que je n’ai toujours pas gagné à la loterie.
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