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Inscrit(e) : octobre 2008 Situation géographique : Au pays des bretzels Métier : PS-GS
isis a écrit le mer, 26 mars 2014 23:30
Ce n'est pas un hasard si quand je fait des recherches pour positiver une classe je tombe toujours sur des liens en anglais (Etats-Unis, Canada, Angleterre...) et si c'est en français ce sont des gens qui ont ramené ça d'un voyage.
Il y a du boulot pour changer les mentalités en France.^^
Oh oui!
C'est impressionnant de voir à quel point on se focalise sur les échecs et pas sur les réussites!
Je me rends que j'ai beaucoup de mal à dire "c'est bien!".
Si Lulu vient me montrer son cahier, où tout est juste, je vais lui dire C'est bien, MAIS tu as oublié un mot ici. pas évident qu'elle retienne le "c'est bien", alors que pourtant, l'erreur est minuscule. Mais c'est tellement ancré dans ma tête! Et pourtant, je le sais que ces mini-critiques sont néfastes!
Avec l'impression que si tu ne critiques pas, tu n'as pas d'autorité, tu es "trop gentil".
Pour avoir discuté avec Verdun, et d'autres, cet été, notre façon d'enseigner est souvent perçue comme violente. Et je pense que la blague de Rudolf, qui ici est clairement perçue comme telle, doit faire bondir des enseignants anglophones, c'est limite une humiliation.
Je ne sais pas s'il y a une mentalité plus efficace qu'une autre, ni même si une telle façon de voir peut fonctionner si pour la société la bienveillance est considérée comme une faiblesse, mais pourquoi ne pas essayer?