Le malaise est général et touche, certes, les directeurs mais aussi les enseignants (titulaires d'une classe ordinaire, spécialisée ou les remplaçants).
Début de carrière extrêmement difficile... (poste dans les EREA... ZEP et autres) et fin de carrière tout autant en remplacement (tiens, c'est étrange, ce sont les mêmes endroits qui ont souvent besoin de remplaçants) mais encore d'une autre façon.
Et les fonctions des directeurs dans ces endroits sont telles que décrites dans la lettre de Christine Renon. Je l'ai imprimée et je la garderai longtemps dans mon sac. Elle est tellement vraie.
J'admire ce courage, cette clairvoyance dans le métier. Même en pleine détresse, elle a su écrire avec les mots justes et a su qu'elle devait envoyer ce message. L'Education Nationale ne peut plus occulter la réalité.
Je n'ai sûrement pas les mots justes mais je pense depuis, tous les jours, à cette personne qui a donné sa vie pour les jeunes élèves et pour les jeunes professeurs qui sont en postes et qui auront ces responsabilités pour de nombreuses années.