Pouvoir sortir comme tu le pourras avec les bonnes personnes lorsque le déconfinement sera mis en place. Par écrit, je ne mets peut-être pas les bons termes mais trois semaines, cela vient très vite. Je sens qu'il faudrait une "catastrophe" pour que cette date change. Le gouvernement joue gros mais ne voudra pas perdre la face dans les dates. Alors, les soignants gèreront à leurs niveaux avec leurs vrais moyens (et non ceux exposés par les médias). Je lis énormément de presse (actuellement, je n'ai pas la presse médicale) mais des médecins ont bien écrit que, certes, il y avait eu des lits de réanimations d'ouverts mais que il y avait différentes classes de réanimation (respirateurs de différentes catégories....) et surtout du personnel formé à ces réanimations (et du personnel "projeté" aux mêmes tâches avec une formation "éclair".)
Un seul médecin à la TV a dit un jour qu'il avait dû refuser une personne et que sa conclusion avait été qu'elle n'était plus de ce monde. Il ne le redira pas car la politique est de dire que l'on a été à la hauteur avec les doublements des lits de réanimation.
Alors, oui, des augmentations d'entrées à l'hôpital et des admissions en réanimation font que l'on a intérêt à être très prudent tout en continuant à vivre (confinée) avec ses proches.

Le déconfinement se fera à la hauteur des places hospitalières.

Alors que les personnes commencent à sortir et qu'elles ne soient pas verbalisées montrent que, actuellement, cela arrange peut-être certaines personnes.

Le nombre total de décès à la fin de l'épidémie sera peut-être plus bas que s'il y avait eu tout de suite un pic énorme (que l'on n'aurait pas pu gérer du tout) mais il y aura des décès malheureusement. Les personnes sachant et écrivant dans la presse actuellement s'étonnent du faible taux d'immunité par rapport au nombre de décès. Elles pensaient que ce taux serait plus haut. Il ne reste plus qu'à faire une règle de trois pour avoir le résultat final dans de nombreux mois.

Je reste chez moi et je sortirai... pour aller travailler. Le choc sera rude.

Par contre, pour certaines personnes, dire que les enfants sont "inoffensifs" leur permet dès maintenant de sortir."Tout va bien", "trois semaines, c'est maintenant"....
"on peut y aller"...

Prenez soin de vous.