| Re: Les parents deviennent fous ! [message n° 141083 est une réponse au message n° 141024] |
lun. 26 juin 2006 21:19   |
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 mamouth-resse |  | | messages : 2409
Inscrit(e) : mars 2005
Métier : PS1-GS | |
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Allez Vivonne, te fâche pas... Tu as tout mon soutien, même si ça ne te servira à pas grande chose.
En tout cas, en petite section, c'est sûr et certain que l'évaluation des aptitudes motrices ne doit pas être négligée.
En petite section, on peut utiliser le cahier "je grandis". Seuls sont notés les progrès, les plus, les mieux, et les élèves sont étroitement associés à la validation de leurs progrès (en collant une photo de l'ahbillage, pour "le m'habille seul" par exemple).
On n'a pas à se poser la question de savoir si c'est bien ou si c'est mal. On est payés pour le faire (bon ok, si demain, je devais dans le cadre de mon travail, déterminer les futurs délinquants, je ne le ferais pas!).
L'évaluation est une forte demande. De l'institution, mais aussi des parents. Si on n'évalue on se fait embêter, si on n'évalue pas on se fait embêter de la même façon.
L’évaluation est une demande de l'institution, mais à quoi sert-elle?.
Elle permet surtout :
- De repérer les réussites et les difficultés des enfants.
- D’informer les familles des activités et des compétences de leurs enfants. Rendre l'école plus lisible pour tous les parents, est l'une de nos missions aussi.
- D'informer nos propres collègues dans un souci de travail en équipe : cohérence, continuité pédagogique et progressivité des apprentissages, surtout au moment du passage de cycle.
- À chaque enseignant de construire son enseignement, il ne s’agit pas d’un travail supplémentaire, mais au contraire d’un outil de conception, d'aide à la différenciation, de guide à la programmation des activités de la classe.
Se pose alors la question de l'outil. Faut-il que ce soit le même en direction des familles et des collègues? Pas sûr. Combien de parents comprendraient par exemple, les évaluation de GS de la banqoutils?
Complétez les phrases suivantes avec un des homophones entre parenthèses.
1. Je vous (salut – salue) Marie pleine de grâces et je vous (signal – signale) que je n’ai toujours pas gagné à la loterie.
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