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Inscrit(e) : juillet 2004 Situation géographique : Bretagne Métier : radiée des cadres ;)
Je pense aussi que l'entourage a un grand rôle, surtout si on ne se sent pas sûre de soi.
Quand on allaite en étant sereine, tout se passe bien, je pense.
Pour le premier ou la deuxième, je ne sais plus, j'ai fait une lymphangite. Mon médecin, à cause de la fièvre, voulait me faire arrêter d'allaiter le temps que ça passe…
Heureusement, j'ai un caractère de cochon et je n'ai pas voulu l'écouter. J'ai appelé le service de la mater (où ils sont très pro-allaitement). Ils ont confirmé ce que j'avais lu : une lymphangite n'empêche pas d'allaiter, au contraire, quand le bébé tête il désengorge le sein justement…
Donc, j'ai dit au toubib "oui, oui" et j'en ai fait qu'à ma tête !
La deuxième prenait peu de poids. L'infirmière de PMI voulait que je complémente par un bib… Je suis allée voir une pédiatre : "Bah, elle ne prend pas de poids… certes… mais elle n'en perd pas, ne pleure pas, semble apaisée après la tétée… Où est le problème ?"
Mais je suis consciente que j'ai eu la chance :
- d'avoir des personnes compétentes autour de moi
- d'avoir pu me documenter beaucoup sur l'allaitement
- d'avoir largement passé 30 ans pour les naissances et donc sûrement acquis plus de sérénité que si j'avais eu 20 ans
- d'avoir un caractère de cochon qui a fait qu'il était hors de question que je laisse tomber !
ah, j'oubliais : d'être tellement radin que je n'avais pas envie de payer une fortune pour du lait maternisé et tellement flemmarde que rien que l'idée de stériliser des bibs et d'avoir à en préparer au milieu de la nuit, à moitié endormie, me motivait !
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