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sarah a écrit le mer, 25 septembre 2013 08:36
Comme les programmes ne se sont pas allégés, car à l'époque dont tu parles faisait-on de l'Anglais ? (Un soupçon de CE1 sans frontière), de l'Histoire de l'Art ? Préparait-on le B2I ? etc.
Résultat on veut essayer de tout faire, et on met de plus en plus d'enfants sur la touche.
Quand je vois la prise de tête pour faire les plannings des salles, des échanges de services, etc.
Non en effet on ne faisait pas tout ça, mais les rythmes ne sont pour rien là dedans je trouve.
Je suis bien d'accord sur l'obligation de changer les programmes, c'est ce que j'aurais souhaité voir modifier en premier.
Je pense seulement pour lire et écouter à droite à gauche qu'on râle contre tout et son contraire et chaque fois je me dis "qui veut tuer son chien..."
Pour les TAP dans l'école de miss, certains commencent par dire que c'est mal fichu, qu'il faut du temps pour "ne rien faire" ou bien pour faire les devoirs si on en a envie (mdrrrrrrr) et le quart d'heure suivant ils poussent des hauts cris parce qu'il n'y a pas d'aviron au programme de ces TAP alors que ce serait tellement bien et pratique avec le club à côté et... Et là du coup, TAP + trajet à pieds pour y aller et en revenir, ça ne fatigue plus.
Il y en avait encore une autre qui disait que la journée était trop longue pour les enfants avec ce quart d'heure de plus à midi, mais qui affirmait ensuite ne pas pouvoir venir chercher l'enfant avant 18h00.
D'autres encore qui s'insurgent en disant que de 16h00 à 16h30, moment de "récré" avant le début des TAP à proprement parler, les enfants sont dehors et comment fera-t-on l'hiver ? Et l'an passé, ils étaient où les gosses ? que ce soit à 16h00 ou 16h30, en quoi ça change les lieux ? Et durant les récrés, ils sont où si ce n'est dehors ?
J'étais vraiment agacée d'entendre tout et son contraire par les mêmes en fait.
Les TAP c'est trop long ça fatigue (c'est vrai que la commune propose une heure d'activité le soir au lieu des 3/4 d'heure qu'elle est tenue de faire + des activités le midi pour 28 élèves qui le souhaitent sur les 50 qui sont alors libres) mais quand il a été question de baisser le temps, c'était impossible car vous comprenez mon enfant jusqu'à 18h00 il va faire quoi ?
C'est cher (4 euros 80 pour la semaine au maximum) alors que la cantine a baissé et est à un prix fixe pour tout le monde et que donc ça revient au même en terme de tarif sur le mois pour ceux qui paient le max (donc c'est plus avantageux pour ceux qui ont un tarif moindre).
Ils n'auraient pas dû allonger la pause de midi qui fait maintenant 2h15 mais pas question de débaucher à 15h45 au lieu de 16h00 ce serait trop tôt. Les enfants risquent de s'ennuyer avec ces longues plages horaires mais l'activité mise en place le midi pour justement rendre les choses moins longuettes est de trop.
Bref, quand on veut pas, on veut pas. Quand il n'y a rien ça râle, quand il y a ça râle aussi : soit trop, soit pas assez bien, soit trop cher, soit...
Et dire qu'avant on en prenait plein la tête parce qu'on voulait garder NOTRE mercredi. Et je veux bien parier que si on redonne le mercredi, ça n'ira encore pas à cause de ces feignasses d'instit.
Ce qu'il faudrait c'est aller les chercher chez eux à 9h00 pour leur laisser le temps de déjeuner et les ramener le soir en pyjama après leur avoir fait faire devoir, sieste et activités sportive et culturelle. Et bien, si possible.
Une autre a dit que la solution serait d'embaucher d'autres personnes pour encadrer et diversifier encore le programme. Alors je veux pas polémiquer ni dire que certains ont plus ou moins le droit de donner leur avis, mais cette maman (que j'apprécie au demeurant), ne paient pas d'impôt, ni les fameuses TAP. Alors forcément, dans un monde parfait, on aurait un adulte pour 5 et on pourrait faire du violon dans toutes les écoles mais à quel prix et pour qui ?
Mais je pense que j'englobe tout à tord également, entre les problèmes de rythme à proprement parler et les réactions vis à vis de ce qui est mis en place. Je suis assez déçue de constater que même dans les endroits où on essaie de faire bien, ça râle.