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Inscrit(e) : juillet 2004 Situation géographique : Bretagne Métier : radiée des cadres ;)
lalo a écrit le mer, 05 mars 2014 23:12
Sans être "incompétence, mauvaise organisation, ou absence de vie à côté, perfectionnisme." il ne s'agit peut être aussi, tout simplement, que d'obligations professionnelles (ou conscience professionnelle). Dans un autre fil, ce calcul a été fait :
paulo a écrit le dim, 16 février 2014 15:40
Les heures de bénévolat, c'est tout ce qui dépasse les 1607 h annuelles.
En comptant :
- les 24 h d'enseignement × 36 semaines
- les 108 h
- la journée de pré-rentrée + les 2 demi-journées de post-rentrée + la journée de solidarité (18 h)
- 10 min avant ET après la classe × 9 demi-journées (3 h × 36 semaines)
On en arrive à un total annuel de 1098 h.
Il vous en reste 509 pour préparer, corriger, renseigner les livrets, et faire d'autres extras pour l'école ou votre IEN préféré. Si vous voulez être tranquilles pendant les vacances, vous devez ainsi travailler 14 h 8 min chaque semaine, en plus de vos
obligations de service.
Soit deux heures par jour, samedi et dimanche compris (et il restera au bout du compte encore 5 h à caser quelque part : il
faut bien une journée pour ranger sa classe en fin d'année).
N'en faites pas plus.
Je ne veux pas dire qu'il faut faire ces heures à tout prix, par zèle. Mais si on les a, c'est que le boulot le demande.
Quant au mercredi matin, on "s'habitue" à tout; on n'a pas le choix; mais on est plus fatigué, plus malade; les gamins aussi, plus énervés; certains diront que l'on ne peut pas tirer de conclusions comme ça; peut être ... de toute façon, on fait avec et on essaie de s'organiser au boulot et à la maison, ...
edith rajoute que pour ma part, le vrai luxe de ce métier c'est de pouvoir choisir quand faire une partie de nos heures.
J'aime bien ce calcul... J'aurais dû l'appliquer, j'aurais peut-être pu continuer à travailler.
Parce que moi, ce qui me bouffait la vie, c'était l'impression de n'avoir jamais terminé
A l'époque où je n'avais ni conjoint ni enfants, j'avais fini par adopter la technique d'un collègue : tous mes documents étaient à l'école, et 2 fois par semaine, je restais en classe jusqu'à 20-21 heures pour tout finir.
Et je ne bossais pas chez moi du tout.
Alors, avec les nouveaux rythmes (encore des nouveaux...), je crois que ce qui m'aurait convenu, ça aurait été une plus longue coupure à midi pour préparer en classe et ne rien rapporter (ou presque) le soir.
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