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Re: le redoublement c'est le mal ! [message n° 931499 est une réponse au message n° 931486] |
jeu. 20 février 2014 21:24 |
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vivonne | |
| messages : 4769
Inscrit(e) : juillet 2004 Situation géographique : Bretagne Métier : radiée des cadres ;) | |
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gommette a écrit le jeu, 20 février 2014 21:09 |
Cela n'est pas vu comme un redoublement mais comme une année supplémentaire pour mûrir, grandir, apprendre d'autres choses...
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Ah oui, ça serait bien ! C'est ridicule cette course à faire tout le plus vite possible, 1 an, 2 ans, 3 ans d'avance... Tout ça pour perdre 1 an, 2 ans, 3 ans d'enfance, d'insouciance et arriver plus tôt dans la jungle des grandes écoles, ou pointer à l'ANPE...
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Re: le redoublement c'est le mal ! [message n° 932025 est une réponse au message n° 931176] |
ven. 21 février 2014 22:05 |
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clarissa | |
| messages : 889
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abeille a écrit le mer, 19 février 2014 21:23 | Je sais que ce n'est pas politiquement correct de dire cela, mais j'ai tendance à croire que souvent on ne fait pas le maintien au bon moment quand on en fait. Je crois qu'on attend trop et que du coup, le maintien ne sert à rien car l'écart à combler est trop important. Après je suis bien consciente que dans certains cas le maintien ne sert à rien car les problèmes sont ailleurs : blocage psy, problèmes familiaux...
Je serais curieuse de savoir exactement tous les tenants et aboutissants dans les pays qui ne pratiquent pas le maintien : de quelles aides concrètes les enfants disposent-ils : effectifs des classes, enseignants spécialisés...
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Justement, je suis bien d'accord avec ta dernière idée :
Si on veut aller vraiment vers une école sans redoublement, en individualisant et en aidant chaque enfant à son rythme, il faut les moyens qui vont avec. J'opterais tout à fait pour cette solution avec un vrai RASED, des enseignants en plus pour le soutien en petit groupe, des classes moins chargées. Sinon, ce qui me fait vraiment réfléchir, c'est l'effet de l'échec scolaire sur l'estime de soi des enfants, qui souvent cumulent plusieurs difficultés ( familiales, ou psy par exemple ).
"Vos enfants ne sont pas vos enfants. ils sont fils et filles du désir de vie en lui-même. Ils viennent par vous mais non de vous, et bien qu’ils soient avec vous, ce n’est pas à vous qu’ils appartiennent." GibranRapporter un message au modérateur
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