En même temps, on se demande pourquoi nous sommes étonnés, rappelons-nous : « Les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien »
prononcée par Emmanuel Macron le 29 juin 2017, lors d'un discours dans le cadre de l'inauguration du campus de start-up Station F à Paris.
(source Wikipedia)

Citation :

"Un irresponsable n'est plus un citoyen" : cette autre phrase de Macron sur les non-vaccinés qui choque
Dans son entretien avec les lecteurs du "Parisien", le président de la République a assumé sa volonté d'"emmerder" les non-vaccinés, dans une déclaration très remarquée. Une autre phrase, sur leur citoyenneté, fait également réagir.

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/un-irresponsable -n-est-plus-un-citoyen-cette-autre-phrase-de-macron-sur-les-non-vaccin es-qui-choque_4905037.html#xtor=RSS-3-

En même temps, on se demande pourquoi nous sommes étonnés, rappelons-nous : « Les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien »
prononcée par Emmanuel Macron le 29 juin 2017, lors d'un discours dans le cadre de l'inauguration du campus de start-up Station F à Paris.
(source Wikipedia)

P...

Il sera même arrivé à me mettre d'accord avec Sarko : "CASSE-TOI POV' CON"
@+
Phil

Validité du passe vaccinal : vous avez été infecté ? Attention à cette nouvelle règle !

Le ministère de la Santé annonce que les personnes vaccinées sans rappel et qui sont testées positives moins de trois après leur dernière injection devront quand même réaliser une dose de rappel.

Vous avez été infecté par la covid-19 après votre schéma vaccinal initial (deux doses ou une infection + une dose) et avant votre dose de rappel ? Vous êtes concerné par la dernière règle édictée mercredi par le ministère de la Santé.

Olivier Véran avait affirmé jusqu'ici qu'une infection après son schéma vaccinal initial équivalait à une injection : il n'y avait alors pas besoin de faire sa dose de rappel pour conserver sans limite de temps son passe vaccinal.


Un délai de trois mois entre en jeu

On apprend aujourd'hui que cette modalité est en réalité conditionnée : pour ne pas avoir à réaliser cette dose supplémentaire, il est nécessaire que la nouvelle infection ait lieu plus de trois mois après la dernière injection de vaccin (dans le cas d'un schéma initial à deux doses ou à une infection + une dose) ou la dernière infection (dans le cas d'un schéma initial à une dose + une infection).

Dans le cas contraire, si la nouvelle infection a lieu dans un délai de moins de trois mois, l'administration d'une dose de rappel reste nécessaire pour conserver la validité du passe. Cette dose supplémentaire doit se faire entre le troisième et le quatrième mois après ladite infection (ou dès six mois pour les 12-17 ans). Sans quoi, votre passe vaccinal temporaire (d'une validité de quatre mois) expire.


Concrètement, imaginons que Monsieur X a reçu sa deuxième dose de vaccin le 1er septembre. S'il est contaminé par le virus avant le 1er décembre, il devra réaliser sa dose de rappel, car sa dernière injection date de moins de trois mois. Il devra faire ce rappel entre le 1er décembre et le 1er janvier pour conserver son passe. À l'inverse, s'il est contaminé par le virus après le 1er décembre, il n'aura pas besoin de rappel : son infection fait office d'injection et son passe vaccinal reste valable sans limite de durée.

Reste que cette complexification des règles est plutôt surprenante : 24 h avant son annonce, de nouvelles règles sur le passe sanitaire étaient déjà entrées en œuvre ; aucune justification scientifique sur le nouveau délai de trois mois n'accompagne l'annonce ; la nouvelle règle est édictée alors qu'Olivier Véran affirme qu'une levée partielle du passe sanitaire pourrait être envisagée vers la mi-mars.

Qui doit faire une 4ème dose de vaccin en France ?

Aujourd'hui, en France, les patients sévèrement immunodéprimés, doivent effectuer une 4ème dose de vaccin contre le Covid-19. Conformément à l'avis du COSV de novembre, les personnes sévèrement immunodéprimées concernées par la 4ème dose sont :

personnes transplantés d'organes solides,
personnes transplantés récents de moelle osseuse,
patients dialysés,
patients atteints de maladies auto-immunes sous traitement immunosuppresseur agressif de type anti-CD20 ou anti-métabolites,
patients atteints de certains types de lymphomes traités par anti-CD20 ou inhibiteurs de BTK,
patients atteints de leucémie lymphoïde chronique,
patients atteints de formes rares de déficits immunitaires primitifs,
myélomes sous traitement